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Aujourd’hui, la relève des grands champions français comme Johann Zarco et Fabio Quartararo n’est pas assurée. Aucun pilote français ne figure actuellement en Moto2, et en Moto3, la filière passe par l’ETC (European Talent Cup, dans laquelle j’évolue) et ensuite le Mondial Junior. Cette situation contraste avec la large domination des pilotes espagnols, suivis par les Italiens. 

Deux principales raisons expliquent ce succès : un accès facilité aux infrastructures d’entraînement et un soutien financier conséquent.

L’enjeu pour moi en 2025 : être compétitif face aux dirigeants internationaux.

En 2025, j’entre dans ma cinquième saison de compétition. Pour rivaliser avec les meilleurs, il faut disposer des mêmes armes :

• Une équipe professionnelle : nous aurons cette structure dès 2025.
• Un entraînement intensif : rouler fréquemment sur les circuits du championnat est essentiel.
• Une pratique diversifiée : s’entraîner avec toutes sortes de motos (cross, flat
  track, pitbike, enduro…) pour développer des compétences variées.
• Une préparation physique et mentale : vélo, gymnastique, diététique et
  coaching mental sont des incontournables pour le haut niveau.

Bien que ma famille et mes proches donnent leur maximum, les besoins financiers pour atteindre ce niveau d’excellence dépassent leurs capacités. Nous avons besoin de soutiens extérieurs pour que ce projet aboutisse.